Un peu de moi
Au travers de l'Origazoom, j'ai voulu créer des passerelles naturelles entre street art, art urbain, art contemporain et Vous, par le jeu, pour susciter la création, le travail collectif et la solidarité intergénérationnelle.
Avec mes créations, l'Origazoom, les Alphabets des Ori et les graffiti Bubble Smile, j'ai voulu proposer des espaces d'expression libre où l'on joue et construit avec l'autre, où l'on apprend la patience, l'audace d'être soi et aussi l'humilité, notre humanité !
Des moments de partage ludiques où l'on comprend l'importance d'observer, d'identifier l'espace où la forme se trouve, d'écouter, de s'émerveiller par le jeu, le pli, la 3D, les mots, pour apprendre et transmettre sa construction, ses idées, dans une ambiance conviviale.
C'est difficile de résumer tout ce qui m'intéresse en une phrase et de réduire l'Origazoom à une simple feuille blanche et à des images où je n'aborderai que la forme de l'Ori et pas le fond du projet. Alors, j'ai pris le temps d'écrire mon parcours pour que vous puissiez découvrir et mieux connaître ma démarche artistique et comment cette feuille s'est remplie !
Mon parcours
Je pratique l'art du graffiti depuis plus de 30 ans.
Enfant rêveur et agité dans les espaces restreints, oppressé par les traits rouges multipliés par l'autorité qui ne faisait que noter en oubliant souvent de s'évaluer, je ne savais pas pourquoi, à ce moment-là de ma vie, j’avais du mal à respirer. AAAH ce cher zéro, qui m'a tant (de fois) été donné avec brutalité, souvenir de mon enfance que je vous partage avec le sourire HA HA HA !
Dans un monde sensible, tel que le nôtre, "on ne peut pas brutaliser innocemment sans retour ! Tous les arbres ne poussent pas droit ! Tout ne peut être normalisé !"
Je suis bien conscient d'avoir contribué à la chute vertigineuse de la moyenne basse de la classe. Alors, avec classe et sans obligation, à seize ans, j’ai quitté les bancs colorés de l'école, mais pas mes crayons.
Je pensais que la créativité est la liberté d'être, qu’en observant, le monde qui m’entoure me serait plus visible, plus réel, et au-delà de regarder, je voulais et devais entendre mon environnement car je n’avais pas besoin de perdre la vue pour voir avec mon cœur.
Je m'interrogeais sur ce que je suis au-delà de ma sphère mentale, pour nourrir mes réflexions, mes raisonnements et mes rêves, et pas que ceux de mes nuits, alors j’ai continué à apprendre et à exister dans le plus grand musée du monde en mouvement : La RUE et ajouté des BOMBES de peinture à mes crayons !
"Parce que toute identité a besoin d'espace pour exister, pour s'exprimer ! Créons-les ensemble !"
Avec tous ses figurants, ses cultures, la rue devient très vite une source intarissable, une bouffée d’oxygène qui allait m’inspirer, m’éclairer et m’accompagner tout au long de ma vie, même pendant de grands moments de solitude, car dans l'urbain, dans la foule, il est aisé de se fondre dans la masse.
J’avais bien compris alors, que même si je n’avais pas acquis les bases de la grammaire, le trait que je faisais sur les murs était un langage ancestral que j’allais m’approprier, car ma pensée et mes actions allaient être guidées par cette idée claire que « j’existe parmi vous mais je ne fonctionne pas pour vous ».
J’ai franchis la barrière invisible qui mettait de la distance entre la bombe et le support pour faire un travail de matières, de grattage et d’effets où j'allais faire naître une nouvelle technique que j’ai appelé « l’aérograttage », ouvrant un horizon infini de possibilité.
En 1994, j’ai fondé l'association Espace Défis ( voir) et dans ma démarche d’artiste et chômeur actif, j’ai décidé de me mettre en marche, comme je l’ai toujours fait, et le 1er Mai, fête du travail pour certains, j’ai traversé la France à pied à l'âge de 24 ans, en 1996, avec le défi et dans mon sac à dos assez d'espace pour des réflexions, des propositions et un projet associatif que j’avais écrit et que j’avais la ferme intention de déposer à l’Elysée, auprès du président de la république, à l’époque Monsieur Jacques Chirac. Je voulais parler de l’importance de la place de l’artiste au sein de notre société et faire réfléchir sur cette réalité que la pauvreté est la conséquence d'un vol.... de liberté ! Finissons-en avec la pauvreté absolue, le conditionnement... Je veux vivre... libre d'aimer !
Au travers de cette marche, ce trajet en soi allait enrichir ma démarche artistique et l’orientation de mes techniques, dormant à la belle étoile, avec toutes les nuances de gris et de bleu et marchant au bord des routes, pour aller au-delà de l’effort. Cette marche a inspiré une œuvre documentaire que j’ai réalisé par la suite (Graffiti IFS voir).
Par mon action, l’association Espace Défis a obtenu des agréments Education Nationale et un agrément de formation qui m’ont permis de créer librement des espaces et des emplois et travailler avec des passionnés du street art afin de rendre la culture urbaine accessible à tous.
J'ai réalisé et mis à la disposition de l'association ( voir), 200 de mes oeuvres pour créer une exposition itinérante qui sillonnera toute la France pendant 15 ans.
Au sein de cette structure, j’ai fondé le collectif Nod&Cazo avec Monsieur Nourddine El Ghziouni en 1999 jusqu’en 2015, dans la démarche que « Toute expression mérite d’être entendue » et de transmettre mon art sous le nom de ce collectif Nod&Cazo, qui a conduit au film « Graffiti IFS (International Free Style) La Paix Sinon Rien ! » voir, qui reprend toutes les techniques que j’ai acquises et que je montre dans ce film que j’ai publié en 2006.
Ce film reflète ma démarche de l’époque : « Témoin de la vie, de ce qui se passe, je devais laisser une trace, que je sois de quelque part ou de nulle part » et de ce que j’ai recueilli suite à tous ces échanges et rencontres dans toute la France pendant 10 ans.
Ce film est une œuvre à part entière sur le graffiti et la culture hip-hop qui m’ont inspirés depuis la fin des années 80.
Nos questions étaient à ce moment-là: « Prolongement d'une expression ancestrale ou simple trace d'un sentiment juvénile ? A qui appartient l'espace public ? En quoi cet art mural à dimension humaine peut-il participer au bien-être d'une société ? ».
Dans la réalisation de ce film, j’ai œuvré pour le développement des moyens de transmission de ce savoir artistique, le graffiti, appliqué à la culture. Il est le fruit de toute l’expérience technique et des enquêtes que nous avons réalisées.
"Graffiti IFS" est un relevé des réponses que peuvent amener les différents membres de notre société aux questions d'une époque que les arts de rue continuent à marquer. Les acteurs sociaux y parlent de leurs difficultés et de leurs passions, les agents de l'ordre de leurs attentions, les proviseurs de leur conscience et les enfants de leurs profs.
J’ai voulu à travers ce film, donner des informations sur mes techniques et développer le goût et la pratique pour comprendre et assimiler le graffiti et l'aérograttage.
Je pensais qu’au-delà de la recherche du style, car la route est longue, chacun est libre de dessiner son chemin.
Ce DVD qui associe la pratique d'un art urbain et la réflexion qui peut en découler, est une véritable recette pour vivre en harmonie avec les autres. L'art est une formation spirituelle avec son milieu de vie car vaincre la page blanche, c'est déjà ne plus avoir peur de l'inconnu et l'éveil passe par la conscience et la conscience de l’environnement.
Ce film, je l’ai distribué aux structures ( voir) comme outil pédagogique et diffusé gratuitement, sans publicité, sur internet, sur YouTube depuis 2013.
Depuis 1995 à 2020, je suis intervenu dans des établissements scolaires, des centres sociaux, des médiathèques, des centres pénitenciers, des organismes de formation…( voir), auprès d’un public de tous âges et de tous les milieux.
Il s’agissait à chaque fois d’expliquer que « la technique que la main doit maîtriser n’est que le prolongement d’une belle pensée » car « toute expression mérite d'être entendue ».
Par ce travail collectif, nous avons su montrer que l’art était l’affaire de tous et que la culture n’était pas l’apanage d’une infime partie de la population. J’ai su écouter attentivement les aspirations des enfants et des adultes que j’ai eu à rencontrer afin de mettre mon art au service de l’autre, car une passion ne peut se transmettre qu’à travers l’échange et l’écoute.
Dans ce monde sensible, j'ai reçu du soleil et de la pluie pour déplier un arc-en-ciel, l'Origazoom !
Je tiens à remercier toutes ces personnes et familles qui ont contribué, même sans le savoir, à rendre nos rencontres enrichissantes et motivantes, par leur disponibilité, leur attention, leur bonne humeur et leur impatience mettant à l'épreuve ma patience et ma persévérance.
" Vous qui m'avez donné de votre temps (de vie), je vous annonce que l'Origazoom est aujourd'hui une réalité ! "
Ayant réalisé l’intégralité du projet que je menais et à cause de la situation sanitaire liée au COVID, j’ai décidé en 2021 de clôturer l’association Espace Défis ( voir), que j’ai présidé en tant que bénévole durant toutes ces années, car elle avait accomplit son but et je me suis consacré pleinement à mon invention, l’Origazoom.
En 2022, je décide de rendre l’Origazoom publique par la création des sites internet: fixaris.fr et origazoom.fr et sortir de l’anonymat sous mon nom L. Fixaris.
Mon objectif, au travers de cette oeuvre, est de créer des passerelles naturelles entre street art, art urbain et art contemporain afin de proposer, avec l'ORIGAZOOM, un art accessible au plus grand nombre tout en continuant à partager l’expérience de ma pratique artistique.
L’Origazoom est le fruit d’une maturation de mes techniques artistiques, l’aérograttage, le pochoir, le graffiti, le travail de la matière et du collage et d’idées guidées par ces expériences, ces rencontres et ces échanges.
J’ai élaboré cette création, l’Origazoom, comme une proposition où l’idée est de « jouer avec l’autre et non contre l’autre ».
De par mes ancêtres, de mes techniques de graffiti, de calligraphie, de l'art du pliage, du street art en passant par le hip-hop et d'autres cultures qui m'ont inspirées et fait respirer, je vous propose cette œuvre unique où chacun crée le pli par le mouvement, ouvrant le champ des perspectives du possible, car " il t'appartient de donner ce que tu peux donner ! "
Ce projet vous semble fou ? Rassurez-vous, je vous invite plutôt à contribuer à notre guérison ! La joie, la compréhension, la fraternité, le sourire, la bienveillance, l'accompagnement, amènent à la guérison qui est un fait collectif quand on respecte avec pudeur, humilité, la différence d'une autre liberté, d'une autre existence et ne plus s'embarrasser de son personnage pour être dans une attitude fraternelle. L'ORIGAZOOM est ma proposition, pour nourrir au travers de sa construction, la curiosité, le partage, le débat, la rencontre, la joie, le questionnement, la compréhension ... le positif !
Cette création entamée en 2007, je l'ai appelée ORIGAZOOM avec cette définition :
ORI parce que le mouvement est à l'ORIGINE du pli, que l'on retrouve aussi dans les cultures japonaise et chinoise au travers de l'ORIGAMI (折り紙) qui est l'art du pliage du papier.
A est le commencement du mot Amour, élément central dans "OrigAzoom", c'est le cheminement qui nous relie aux autres et mon Art en fait partie. A est la première lettre des alphabets cyrillique, hébreux, latin, grec et arabe, des traits pliés tout comme les premières écritures hiéroglyphiques et cunéiformes qui sont ce langage fraternel qui nous lie.
Et ZOOM, le regard profond et panoramique sur l’infiniment petit et l’infiniment grand où tout est lié.
Autour de moi, j'observais que le pli était important dans notre perception de la perspective car là où il y a de la perspective, il y a un pli et là où il y a le pli, il y a le mouvement qui ouvre la porte à d'autres dimensions, d'autres profondeurs.
Dans mes recherches et dans ma sensibilité sur ce monde, j’ai voulu trouver un concept intégrant des critères réunissant l’art et l’écologie, à moindre coût, sans diminuer mon œuvre, l’Origazoom, bien au contraire.
Cette création qui utilise la technique de l’origami répond aux enjeux écologiques et techniques de notre monde moderne et si sensible.
Par le papier, constitué de cellulose, cette molécule organique la plus répandue sur terre, j’ai trouvé la matière qui répondait à ces critères et plus particulièrement le format A4; la force de ce format étant que ses proportions ne varient jamais, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, A2, A3, A5 ...
Ma création est illimitée dans l’imaginaire provoqué par sa construction, mais elle est limitée par la surface.
Avec l’Origazoom, j’utilise toutes les ressources de cet espace du format A4 pour que le mouvement de sa construction soit l’ouverture vers de nouvelles perspectives où l’esprit libère sa créativité.
La construction de l’Origazoom, sur le plan géométrique, a tenu compte du fait qu’il ne fallait aucune chute, aucun gaspillage dans la transformation de cette feuille plate en une autre forme.
L’Origazoom se gonfle et se déploie pour faire apparaître un volume obtenu par le pliage de la feuille, renforçant la sculpture afin qu’elle puisse tenir en équilibre, d’un seul bloc, sans aucun point de colle ni ciseaux.
Les différentes parties qui composent l’Origazoom et l'Ori-Pocket sont issues de mes œuvres inspirées du Street Art, du graffiti, de l’origami et de mes toiles numérisées.
Sur la feuille figurent le motif et les traits du schéma du plan de construction, qui sont la clé pour transformer, par le pliage, ce format A4 en une sculpture.
Les éléments graphiques de la 2D se mettent en mouvement pour s’organiser et faire apparaître l'Origazoom en 3D.
J’ai créé l’Origazoom pour qu’il soit accessible à tous. Son concept est innovant car la réalisation de cette œuvre, de cette sculpture, issue d’une feuille A4 (A2, A3, A5...), est facilitée par l’intégration du tracé sur la feuille, tracé qui disparaît au fur et à mesure du pliage.
J'ai choisi ce format, car en plus de ses proportions idéales pour l'Origazoom et l'Ori-Pocket, il sera facile pour les fabricants de calculer l’imposition, le nombre de feuilles à imprimer ou à massicoter pour arriver au format A4. Et ceci sans perte de papier, ce qui optimise les coûts et la chaîne de production.
Ainsi, par la division par 2 du format A0, en découlent tous les autres formats : A1, A2, A3, A4 etc. Jusqu’au format A10 qui reste le format le plus petit : 3,7×2,6cm. Le chiffre après le « A » indique le nombre de pliages nécessaire pour obtenir le format désiré. Pour le format A4, il faut donc plier 4 fois une feuille A0.
Conscients des enjeux écologiques, j’ai conçu l’Origazoom et l'Ori-Pocket de manière à ce qu’il n’y ait aucun gaspillage, juste de l’encre et du papier (écologique).
L’Origazoom est une œuvre qui pousse à la créativité et invite à l’inventivité.
Chaque personne qui voudra matérialiser ces petits personnages imaginaires, hauts en couleurs et à l’expression vive, est destinée à s'amuser, à découvrir et à partager.
L'accès au pliage pourra être proposé à tous, là où sera exposé l'Origazoom.
Cet échange avec l'oeuvre mettra en évidence le comportement sensible du public à préserver ce qui lui est important.
De cette feuille A4 qui devient par son pliage une sculpture 3D où chaque morceau est utilisé, j’aborde autant de sujets tels que l’écologie, l’environnement, le vivre ensemble, le partage… Sans imposer de règle de genre, d’origine, de nationalité…, qui peuvent restreindre le questionnement et l’échange, j’ai voulu, dans ma démarche du « toucher sans toucher » et dans le processus de construction de cette œuvre, éveiller la curiosité et le questionnement par le mouvement du pliage et du gonflage qui, d’un souffle, donne aussi à cette matière un volume et de la robustesse.
Cette création, je l’ai pensé pour que le public crée à son tour.
Il ne s’agit pas de proposer une œuvre fermée où la rencontre avec l’objet est pensée à l’avance, mais de laisser une large place à la participation.
J’ai créé ces sculptures, mais leur identité et leurs histoires restent à inventer.
L’Origazoom, le seul mécano en papier qui se passe de colle et de ciseaux ... Complexe ? Bien sûr que Non ! Il est juste sans complexe et 100% Naturellement cool .
Sans être moralisateur, ni pessimiste, j’ai voulu que le public se questionne sur les ressources limitées de la planète et soit amené à rechercher et proposer des solutions en développant le côté solidaire et créatif.
L’artiste et l’humain que je suis, au travers de mes créations, se positionne, participe et consolide cette notion que « tout est lié ».
J’ai voulu que cette œuvre, au fur et à mesure de son pliage, fasse vivre l’échange et le questionnement, par ce processus de construction, sur notre environnement, notre présent(ce) et qu’on soit tous porteurs de solution et de respect pour l’autre et pour la planète.
L’Origazoom s’inscrit dans ma démarche artistique et environnementale, d’inspiration street art, que je fais vivre en offrant à cette œuvre des cadres variés, au gré de mes voyages.
Depuis Août 2022, mon objectif est de faire connaître cette création en lui donnant de la visibilité par des expositions, des ateliers, par l’édition et pour cela je suis à la recherche de soutien, de financement et de structure pour exposer et diffuser cette œuvre vivante au plus grand nombre car c’est une création libre.
On s’approprie cette œuvre comme on s’approprie un livre, avec la 3D en plus.
Dans ma démarche où la paix a une grande place, l’Origazoom est ma proposition à l’humanité et au « vivre et rire ensemble ».
Diplômé de l'animation socio-culturelle, j'enseigne l'art du graffiti et organise dans toute la France des ateliers Origazoom et des expositions Street Art au sein d'établissements scolaires, d'associations, d'organismes de formation, de centres culturels, de MJC...
Les ateliers que je propose amènent les participants à découvrir, par leurs nombreuses réalisations, l’histoire de l'Ori ainsi que ma démarche d'artiste mélangeant mes techniques de graffiti à l'Origazoom. Chacun pourra ainsi découvrir et échanger autour du jeu des lettres et du pliage, la force des mots pour " jouer avec l'autre et non contre l'autre ! "
L’important c'est que chacun, dans la construction de son œuvre, s’exprime, partage et donne du sens à ses créations tout en étant sensibilisé à l'environnement.
L'Origazoom et l'écriture graffiti peuvent, par le jeu de construction, être des sources de réflexion et de nouvelles possibilités d'expression pour les enfants, les jeunes et les adultes.
Mes ateliers sont accompagnés d’une exposition sur le graffiti, créée au fil des années et des rencontres.
En 2022, je réalise et développe avec le soutien de mon partenaire culturel RR Visuel Impact, les toiles des «Alphabets des Ori», dans le style graffiti, qui ont pour objectif de créer des passerelles naturelles entre street art, art urbain, art contemporain et VOUS, et de proposer un espace d’expression libre, de création et de construction.
Ces "Alphabets des Ori", je les ai réalisé et construit afin de faciliter, de manière ludique, l'apprentissage des lettres et des chiffres, de la lecture, de l'écriture et du calcul, de l'attention et de la subtilité des intentions et des tensions que nous donnons à l'écrit et à la phonétique :
"Lire et écrire ses pensées, pour soi et pour l'autre." "Lire et écrire, c'est penser pour soi et pour l'autre."
Acquérir des outils pour comprendre, se situer dans le monde, y agir librement et participer, par le choix, au bon développement à bâtir avec les autres, sa culture, son futur.
Découvrez mes alphabets des Ori sur toile et en téléchargement gratuit sur mon site web, dans le style graffiti, tag, bubble, flop et block style !
Plus que des toiles, des espaces de création ... libre à chacun de les personnaliser et même de les toyer !
Chacun est différent ! Chaque toile sera unique !
Pour les amoureux du graffiti mais pas que... Professionnels, vous êtes intéressés par mes alphabets, les Origazoom, mes graphismes pour vos évènements, pour réaliser une exposition ou un atelier en ma présence ? Contactez-moi ou mon partenaire culturel RR Visuel Impact sur roxanerenaud.fr !
Une question ? Un projet ? N’hésitez pas à nous contacter et à télécharger les documents et catalogues sur nos sites web, fixaris.fr et roxanerenaud.fr !
Mes créations sont imprimées en tirage limité à 1000 exemplaires, sur une toile de qualité et étirée à la main sur un châssis en bois. Chaque toile est réalisée avec des encres spéciales, sans solvant et résistantes aux UV.
Ces toiles alphabets graffiti peuvent être utilisées comme support pour des projets éducatifs, culturels et artistiques, au sein d’établissements scolaires, médiathèques, centres sociaux, centres de loisirs, MJC... ainsi que pour des évènements sur les cultures urbaines.
Un de mes projets culturels et artistiques vous intéresse ? Contactez-moi et retrouvez-les sur mon site web fixaris.fr ou sur le site web de mon partenaire RR Visuel Impact roxanerenaud.fr !
En tant qu’auteur et inventeur de ce concept, j’ai décidé que tout un chacun pourra télécharger l’Ori de son choix et, grâce à la licence d’utilisation, pourra l’imprimer autant de fois qu’il le souhaite pour partager des moments ludiques en famille. J’accompagne chaque téléchargement d’une de mes œuvres originales street art que vous pourrez imprimer.
J’ai pour projet d’éditer et de publier des livres et des pochettes autour de l’Origazoom, dans un format A4 et A3, sur du papier écologique avec de l’encre naturelle et de les proposer au plus grand nombre et aussi en tant qu’outil pédagogique pour les structures scolaires, artistiques et culturelles.
Comme tout projet artistique, votre soutien est le bienvenu (à cet édifice). Rentrez dans le mouvement et n’hésitez pas à le partager, c’est la meilleure façon de le recycler !
L. Fixaris
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Je construis chaque projet d'atelier avec les responsables d’établissement en tenant compte du public, des lieux, des attentes ...
J'ai la particularité de prendre en charge toute la logistique de mes ateliers sur toute la France et en Europe.
Doc. "Du Graffiti à l'Origazoom"
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